La Généalogie est « l’étude des filiations ». L’objectif est de connaitre l’origine de ses ancêtres. Un arbre généalogique est souvent utilisé comme rendu. Le plus grand arbre généalogique compte 27 millions de personnes.
Voici quelques mots-clefs pour mieux comprendre son monde :
- Aboville : système mis en place dans les années 40. Il permet avec des numéros de comprendre plus rapidement les liens entre la descendance.
- Acte : écrit qui permet d’attester d’un lien.
- Ascendant : ancêtre direct.
- Branche : division d’un arbre généalogique.
- Descendance : toutes les personnes qui naissent à la suite d’une personne.
- Filiation : lien de parenté direct.
- Génération : environ 30 ans.
- Livret de famille : permet de se référencer à l’état civil.
- Recensement : permet de connaître le nombre de personnes dans la population.
Son histoire
La généalogie et l’histoire ont des sources communes. La liste d’Abydos, en Égypte, gravée sur une pierre, est la représentation de l’ensemble des Pharaons. Les Grecs ont aussi un impact avec le poème « La Théogonie ». Il met en avant la généalogie des Dieux. Ensuite, la population n’hésite pas à faire de même. L’année 1539 marque un tournant dans la généalogie. L’ordonnance de Villers-Cotterêts impose d’écrire (recenser) l’ensemble des naissances.
Être noble a longtemps été associé à un Graal. Le développement de la généalogie se déroule sous Louis XIV. Ce dernier veut avoir une plus ample idée de qui est réellement de sang noble. La généalogie devient un loisir populaire dans les années 1970. Internet permet de la faire passer dans une nouvelle dimension. En effet, la numérisation des états-civils rend plus facile la généalogie. Elle est aussi utilisée en cas de successions.
En France, il existe des associations de généalogie. Ces associations épluchent les registres paroissiaux et de l’état civil. Faire partie d’un de ces clubs permet donc d’avoir une base de données beaucoup plus importante. Fun fact, en France, le nom de famille le plus populaire est « Martin ».